THEO DABADIE ET SES ASPIRATIONS DE HANDRAILS EN SWITCH
Par Cyril Lestage
Théo grinde, en switch frontside 5050, un rail qui a eu déjà plusieurs incarnations en plus de 20 ans. Mattez le pied avant !
SUPER SARAH : Qu’est-ce qui te motive à sauter sur des rails en switch ? Comment ça t’es venu ? Parce que c’est dur, quand même.
Théo : Déjà j’ai un bon contrôle de switch… A la maison (Au Portugal, ndlr, Théo est un skateur franco-portugais), j’ai un peu la philosophie de rentrer en switch, pousser en switch, parce que c’est plus dur. Dans le skate, on fait de la catharsis un peu, du dur… on devient plus fort ! C’est un truc qui me motive, un truc qu’on voit pas trop souvent. J’aime bien, le switch c’est un truc dur, moi j’aime ce qui est dur. Voilà, c’est ce qui motive en fait. C’est faire…montrer que ch’uis un peu foufou quoi, quand je veux (rires).
T’as peut-être eu des influences, des gens que t’as vu se balancer en switch sur des rails, dans ta vie de skateur ? En vrai, ou en vidéo…
Bah…pas forcément ! Je vais pas te mentir, j’ai pas vu toutes les vidéos mais y’en a pas mal où ils vont pas trop en switch. C’est un truc où je me suis dit que je pourrais me démarquer. Mais sinon, je me rappelle bien d’un gros switch front board de Yuto Horigome.
Pour le switch 50 à la Small Place, tu te rappelles un peu la journée ? T’avais déjà fait des switch 50 sur des rails comme ça ?
Bah aussi grand, ça été un de mes premiers, à la Small. Comme je suis lyonnais, je suis né à Lyon, je me sentais comfortable, quitte à tomber et à se faire mal là bas ! (…) Il faut savoir tomber avant de skater bien, savoir comment se relever…préparer la chute c’est le plus important à mon avis !
Théo Dabadie skate pour Jiny Equipment et C1rca, et vous envoie un grand sourire.